LONGROW Officiel 18 ans, 2 ème Edition, 2011, n.c.f, n.c., 46 %
Note (confirmed score for the 2011 Edition): 87/100
LONGROW Officiel 18 ans, 2 ème Edition, 2011, non filtré à froid, non coloré, 46 %
(Distillerie SPRINGBANK)
Type: SINGLE-MALT
Pays & Province: Royaume Uni, Ecosse
Région: Campbeltown (Presqu'île de)
Version: Officielle
Gamme: Limitée
Age: 18 ans
Date de distillation: Non précisée
Date de mise en bouteille: 2011 (2 ème édition)
Millésime (Vintage) : Non
Maturation (en fûts de): Bourbon & une part de fûts de Sherry, voire de Rhum
Affinage: Non
Remplissage: Non précisé
Nombre de Fûts: Non précisé
Numéro(s) de Fût(s): Assemblage
Nombre de bouteilles: Non précisé
A.B.V. (% d'alcool): 46 %
Filtration: Non filtré à froid
Coloration (caramel ajouté): Non
Contenant (remarque): Etui carton
Contenant (volume): 70 cl
Fourchette de Prix: Autour de 165 € (Prix de vente conseillé Dugas)
A Noter :
Cette version et différente de la première édition 2008 (voir notes de dégustation sur le site), elle l’est aussi par son conditionnement (pas de coffret, mais un étui, étiquette différente, plus proche des éditions 10 et 14 ans). A noter, l’édition 2008 a obtenu un score de 92/100 au lieu de 87/100 pour celle-ci.
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Résumé :
Note (confirmed score for the 2011 Edition): 87/100
Une version du 18 ans LONGROW passablement austère et très marquée par des notes acides, amères, âcres & vineuses provenant à la fois de fûts de sherry de plusieurs remplissages et de fûts particulièrement marins et saumâtres. Pour amateurs de typicité et d’austérité à l’ancienne seulement. Pour les nouveaux venus amateurs de SPRINGBANK, lui préférer de loin la version « C.V. », ou, si vous réussissez à la trouver, la première édition de cette version, plus équilibrée, et notée, elle, 92/100.
A rather austere & demanding edition of the 18 y.o. LONGROW, quite different from the first edition (2008, much more balanced & rated 92/100). Driven by marine notes (with a rather acrid, bitter & pungent profile) as well as some weird winey notes (giving the spirit some sour notes), it is not perfectly balanced, to say the least, but some may like its rich seaweed, seawater & ashy notes (it seems differently peated than the 2008 edition). I can’t say it is bad whisky, no, but its radical austerity, winey profile & its deep briny notes are really not my cup of tea. I tried to score it « objectively » though.
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Description:
Commentaires sur l’édition 2011 (2 ème édition):
Couleur : Or clair, à reflets pâles.
Nez : Résolument marin (iode, sel, algues), marqué par le Sherry (de plusieurs remplissages), puis par l’orge maltée, il est à peine un peu fumé (moins que le 2008).
Bouche : Assez fine, un peu vive (épicée), légèrement fermière, céréalée, mais surtout bien marquée par des notes marines (iode, sel, algues) et saumâtres (donnant une note métallique et amère peu agréable), par des plantes aromatiques (un peu de fenouil, plus de gentiane), des notes vineuses de « Refill Sherry » (étranges, avec pas mal d’acidité) au fur et à mesure de plus en plus présentes, elle est d’une « belle » ou « rare » (selon les goûts) austérité et typicité. Les notes de fumée sont différentes de celle de l’édition 2008, plus cendrées, plus âcres. L’ensemble est nettement moins agréable à déguster que l’édition 2008, que j’ai trouvée bien plus équilibrée et plus élégante.
Tenue à la dilution : Les « défauts ou « typicités » (au choix) de cette version sont accentués par l’ajout d’eau, alors à vous de voir.
Conclusion : Une version du 18 ans LONGROW passablement austère et très marquée par des notes acides, amères et âcres provenant à la fois de fûts de sherry de plusieurs remplissages et de fûts particulièrement marins et saumâtres. Pour amateurs de typicité et d’austérité à l’ancienne seulement (rivalisant avec les mises en bouteille les plus marines de BOWMORE ou ARDBEG, la séduction en moins). Pour les nouveaux venus amateurs de SPRINGBANK un peu tourbé, lui préférer, de loin, la version « C.V. », ou, si vous réussissez à la trouver, la première édition de cette version. Il faudrait déguster des mises en bouteille plus récentes pour voir si cette impression, en partie négative, se confirme ou non.